La familia, la propiedad privad y el amor [French translation]
La familia, la propiedad privad y el amor [French translation]
L'écroulement d'un rêve, quelque chose qu'on trouve en train de passer,
Cela s'est avéré être toi. Une éponge sans maître,
Un sifflement qui cherche, Cela s'est avéré être moi.
Lorsqu'on trouve deux balles sur un champs de guerre
Quelque chose doit se passer...
Quoique prédise l'amour, la tête penché vers le sol,
Un nuage viendra ou des débandades de temps
Les yeux viendront.
Il y a toujours eu quelque chose de nécessaire, et non pas parce que
Tu avais des rubans blancs sur la peau
Ton prix était fixé depuis hier
Tu valais quatre étampes de la loi
Toi, assise sur la peur,
Assise sur la peur
De fuir.
Une jeune fille de famille décente ne peut pas sortir
Que diraient les gens le dimanche à la messe
S'ils savaient pour toi, que diraient les amis
Les vieux voisins qui viennent ici
Que diraient les fenêtres,
Ta mère et sa seur et tous les siècles
De colonialisme espagnol qui, non en vain,
T'ont rendue lâche, que dirait Dieu
Si tu aimes sans l'église et sans la loi
Dieu, à qui tu t'es déjà donnée en communion
Dieu qui rend éternelles les âmes des enfants
Que détruiront les bombes et le napalm.
L'écroulement d'un rêve,
Quelque chose qu'on trouve en train de passer, cela s'est avéré être toi.
Une éponge sans maître,
Un sifflement qui cherche, cela s'est avéré être moi.
Cherche l'amour avec des anneaux
Et des papiers signés et quand tu n'aimeras plus...
N'oublie pas tes enfants,
Ne laisses pas ton époux ni une belle maison
Et s'ils ne résistent pas, qu'ils scient les biens
Toi aussi tu as des droits, car toi,
Tu avais des rubans blancs sur la peau
Ton prix était fixé depuis hier
Tu valais quatre étampes de la loi
Toi, assise sur la peur
De fuir.
- Artist:Silvio Rodríguez