Ледяная карусель [Ledyanaya karuselʹ] [French translation]

Songs   2024-12-28 00:46:54

Ледяная карусель [Ledyanaya karuselʹ] [French translation]

Dans la maison remplie d'air chaud,

Les boutons des camélias ont grossi,

Dans la cheminée noire de suie crépitent, ma chère,

Des braises pourpres.

L'odeur parfumée nous parvient depuis la cuisine,

Les pièces sont baignées d'une lumière blafarde artificielle,

Qui s'apprête à s'éteindre

Je promènerai une main chaude sur le verre couvert de buée,

Le chat paresseux

Peut bien regarder le lait du rebord de la fenêtre.

Le thermomètre approche des moins trente,

Le gel atteint des records,

Et moi dans la maison je me promène nu.

On s'y sent bien, au calme,

Ce thé brûlant revigorerait les endormis,

Mais moi je m'endors dans les rayons du soleil

Qui brillent à l'écran de la télévision muette.

Mon chat, drapé dans un plaid en laine,

N'arrête pas de bayer

Au son de cette berceuse que chante l'hiver.

C'est là que tourne le manège de glace des aiguilles de glace perçantes,

Tombé dans le filet, un féroce tigre blanc se démène.

L'horizon est bouché comme un mur massif,

Et la tempête tord l'espace blanc comme une rouge.

C'est là que tourne le manège de glace des aiguilles de glace perçantes,

Tombé dans le filet, un féroce tigre blanc se démène.

L'horizon est bouché comme un mur massif,

Et la tempête tord l'espace blanc comme une rouge.

Le givre fond sur ma jeune barbe, dans le noir je me frotte le visage,

La nuit est en route vers son apogée, à hauteur de quatre cents, cinq cents.

La tente est dans un nuage sur la banquise, mais je suis dans le meilleur des palais,

Qui se refroidit petit à petit, encerclé par l'intempérie.

Je m'enveloppe de chaleur, je ferme mon sac de couchage dodu,

Demain m'attend un finish avec mille cent de dénivelé,

Et je reviendrai en bas content, de mon apogée de l'année,

Si sa majesté la météo le veut bien.

Mais pendant ce temps j'écoute les implacables bourrasques de neige

Lécher les rochers, les glaciers, battre ma tente,

Je fais un rêve, mon regard se promène sans y croire

À travers la fine coupole noire en nylon.

C'est là que tourne le manège de glace des aiguilles de glace perçantes,

Tombé dans le filet, un féroce tigre blanc se démène.

L'horizon est bouché comme un mur massif,

Et la tempête tord l'espace blanc comme une rouge.

C'est là que tourne le manège de glace des aiguilles de glace perçantes,

Tombé dans le filet, un féroce tigre blanc se démène.

L'horizon est bouché comme un mur massif,

Et la tempête tord l'espace blanc comme une rouge.

Des rails et des traverses, la train avance au ralenti,

Il compte avec lassitude les kilomètres en trémoussant ses rames grondantes

À travers l'intempérie quand il fait moins de zéro dehors.

Pour un passant, il vaut mieux être ici que de se promener.

De la compagne il reste une note de parfum,

Le cœur s'oubliera dans une pile de poèmes,

Calme dans le silence fracassant,

La symphonie se noie, il n'y a plus personne.

La cuillère cliquette et fait écho aux roues en morse,

La cabine est morne, mais on répugne à allumer à lumière.

C'est un repos bienvenu dans les discours sans fin,

Les grains de poussière sont éclairés d'une tache de lumière à la fenêtre

La danse des micros aimantés

Ce train trouvera son quai,

Comme celui des frères Lumière dans leur premier film.

Plongée dans un réel silence,

La pièce glisse sur les rails.

Ici il y a ce qui ne tombera pas dans l'oubli,

Ce qu'il n'y a probablement nulle part.

Le melchior du sous-verre resplendit,

Et le monde éclate à l'écran.

C'est là que tourne le manège de glace des aiguilles de glace perçantes,

Tombé dans le filet, un féroce tigre blanc se démène.

L'horizon est bouché comme un mur massif,

Et la tempête tord l'espace blanc comme une rouge.

Voilà déjà trois ans que cette époque est passée.

Tout s'est posé en moi, et mon cœur bat calmement.

Je me suis déglacé, j'ai renoué avec mes monastères,

Je m'étais tellement refroidi que j'avais oublié que je psychotais,

Que ses intrigues me glaçaient, que je devenais fou d'euphorie,

Que je subjuguais sans remporter de grand-prix, que je rêvais de la rupture,

Que les illusions éclataient en riant méchamment, comme des bulles.

Cela fait longtemps que je me sens bien dans ma vie, que je ressens le calme.

De la tendresse envers un autre être, avec elle c'est facile,

Je regarde par la fenêtre le triste balcon résister à l'adversité,

Cela fait longtemps que je n'y avais pas pensé.

C'est là que tourne le manège de glace des aiguilles de glace perçantes,

Tombé dans le filet, un féroce tigre blanc se démène.

L'horizon est bouché comme un mur massif,

Et la tempête tord l'espace blanc comme une rouge.

C'est là que tourne le manège de glace des aiguilles de glace perçantes,

Tombé dans le filet, un féroce tigre blanc se démène.

L'horizon est bouché comme un mur massif,

Et la tempête tord l'espace blanc comme une rouge.

  • Artist:Kasta
  • Album:Четырёхглавый орёт
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  • country:Russia
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  • Genre:
  • Official site:http://kasta.ru
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