Over the Misty Mountains Cold [French translation]

Songs   2024-06-26 09:49:37

Over the Misty Mountains Cold [French translation]

Au-delà des Monts Brumeux glaciaux,

Par de profonds donjons et cavernes ancestrales,

Nous devons partir, avant l'aube,

Pour chercher notre pâle et enchanté or.

Les nains de jadis firent de puissants enchantements,

Alors que les marteaux retentissaient tels des cloches sonnant,

En profonds endroits, où d'obscures choses dorment,

En caverneux vestibules sous les montagnes.

Car l'ancien roi et le seigneur elfique

Amassèrent un trésor d'or brillant

Ils formèrent et façonnèrent, et la lumière qu'ils attrapèrent

Afin de la cacher en des gemmes sur les pommeaux d'épées

Sur les colliers d'argent ils accrochèrent

Les étoiles florissant, sur les couronnes ils suspendirent

Le feu-du-dragon, sur du fil tordu

Ils harmonisèrent la lumière de la lune et du soleil.

Au-delà des Monts Brumeux glaciaux,

Par de profonds donjons et cavernes ancestrales,

Nous devons partir, avant l'aube,

Pour réclamer notre longuement-oublié or.

Des coupes ils sculptèrent là pour eux-mêmes,

Et des harpes d'or, où nul homme ne creuse

Ils restèrent là longtemps, et bien des chansons

Furent chantées, inentendues par hommes ou elfes.

Les pins grondaient sur les hauteurs,

Le vent gémissait dans la nuit,

Le feu était rouge, sa flamme se répandait,

Les arbres comme des torches enflammées de lumière.

Les cloches sonnaient dans la vallée,

Et les hommes regardèrent en l'air, avec leurs visages pâles.

Le courroux du dragon, plus féroce que le feu,

Mis à bas leurs tours et maisons fragiles.

La montagne fuma sous la lune.

Les nains, ils entendirent le bruit de la ruine

Ils fuirent leurs vestibules vers l'automne déclinant

Sous ses pattes, sous la lune.

Au-delà des Brumeuses Montagnes lugubres,

Par de profonds donjons et cavernes sombres,

Nous devons partir, avant l'aube,

Afin de lui reprendre nos harpes et notre or !

Le vent était sur la lande flétrie,

Mais en la forêt ne bougeait nulle feuille :

Là des ombres étaient, de nuit ou de jour,

Et de sombres choses silencieusement se glissaient en-dessous.

Le vent vint des glaciales montagnes,

Et comme une vague il rugit et s'enroula.

Les branches grognèrent, la forêt gémit ,

Et les feuilles tombèrent sur l'humus.

Le vent vint d'Ouest en Est ;

Tout mouvement dans la forêt cessa.

Mais perçant et âpre en travers du marais,

Ses sifflantes voix furent relâchées.

Les herbes chuintèrent, leur houppe courbée,

Les roseaux cliquetaient--cela fonctionna.

Au-dessus de l'agité étang sous la fraîcheur des paradis,

Où de rapides nuages étaient tordus et fendus.

Cela passa la vide Montagne Solitaire,

Et balaya au-dessus de la tanière du dragon :

Là reposent noirs et sombres durs blocs,

Et une fumée volatile était dans l'air.

Ca laissa le monde et pris la fuite

Au-dessus des larges mers de la nuit.

La lune accosta sur le grand vent,

Et les étoiles furent étalées par la lumière bondissante.

Sous la Montagne sombre et haute,

Le Roi est venu dans son vestibule !

Son ennemi est mort, le Ver de la Terreur,

Et toujours alors ses ennemis devront tomber !

L'épée est tranchante, la lance est longue,

La flèche rapide, la Porte est forte.

Le coeur est hardi de regarder de l'or ;

Les nains ne doivent plus souffrir du mal.

Les nains de jadis firent de puissants enchantements,

Alors que les marteaux retentissaient tels des cloches sonnant,

En profonds endroits, où d'obscures choses dorment,

En caverneux vestibules sous les montagnes.

Sur les colliers d'argent ils accrochèrent

Les étoiles florissant, sur les couronnes ils suspendèrent

Le feu-du-dragon, sur du fil tordu

La mélodie des harpes ils jouèrent.

Le trône de la montagne une fois de plus est libéré !

O ! Peuple errant, écoute l'appel !

Viens avec hâte ! Viens avec hâte ! En travers les terres !

Le roi des amis et parents en a besoin.

Maintenant nous appelons sur les glaciales montagnes,

"Revenez en les cavernes ancestrales !"

Là aux portes le roi attend,

Ses mains sont riches de gemmes et d'or.

Le roi est venu dans son vestibule

Sous la Montagne sombre et haute.

Le Ver de la Terreur est pourfendu et mort,

Et toujours alors nos ennemis devront tomber !

Adieu nous annonçons le foyer et le vestibule !

Bien que le vent puisse souffler et la pluie tomber,

Nous devons partir, avant l'aube,

Au-delà les bois et les hautes montagnes.

A Rivendell, où les elfes demeurent

En les clairières sous les collines brumeuses.

A travers landes et terres nous chevauchons avec hâte,

Et où nous ne pouvons dire.

Avec des ennemis en devant, terreur en arrière,

Sous le ciel doit être notre lit,

Jusqu'à que finalement notre labeur se termine,

Notre périple fini, notre mission accomplie.

Nous devons partir ! Nous devons partir !

Nous chevauchons avant l'aube !

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J. R. R. Tolkien more
  • country:United Kingdom
  • Languages:English, Quenya
  • Genre:Folk, Poetry
  • Official site:http://www.tolkienestate.com/en/home.html
  • Wiki:http://en.wikipedia.org/wiki/J._R._R._Tolkien
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